C’est quoi le closing ? Définition, rôle et formations pour devenir closer
Une conversation qui change tout
Ce moment où tu décroches le téléphone pour parler à ton premier client potentiel. Ton cœur bat. Tu as bossé pendant des mois sur ton projet. Ton site est impeccable. Ton offre est solide. Mais là, face à cette vraie personne qui te pose des questions, qui hésite, qui te dit « je vais réfléchir »… tu te sens démuni.
Je connais ce sentiment. Moi aussi, je l’ai vécu.
Je suis consultante SEO indépendant. Je sais optimiser un contenu pour Google, analyser la concurrence, bâtir une stratégie de mots-clés, augmenter les CA d’un business a travers son site. Mais quand j’ai démarré mon activité, il a fallu que j’apprende quelque chose qu’on ne m’avait jamais enseigné : prospecter, négocier. Vendre. Conclure.
Parce que tu peux être le meilleur dans ton domaine, si tu ne sais pas mener une conversation commerciale, si tu ne sais pas gérer les objections, si tu paniques au moment de parler prix… ton business n’avance pas.
La bonne nouvelle ? La négociation, ça s’apprend. Le closing, ça s’apprend. Ce n’est pas un don. C’est une compétence. Et aujourd’hui, cette compétence a transformé ma façon d’entreprendre.
Grâce au closing, j’ai appris à structurer mes échanges commerciaux. À attirer des clients qualifiés. À gérer les doutes sans perdre mes moyens. À transformer un « peut-être » en « oui, on y va ».
Alors aujourd’hui,on va comprendre ce que c’est vraiment. Comment ça fonctionne. Et surtout : comment tu peux, toi aussi, intégrer ces compétences dans ton parcours d’entrepreneur.
Si tu veux aller plus loin et découvrir comment maîtriser ces compétences avec un vrai accompagnement, l’OFAP propose une formation complète au closing, certifiée et finançable par ton CPF.
Prêt à lever le voile ?
Ce qu’on va explorer ensemble
Dans cet article, tu vas comprendre :
- La vraie définition du closing et pourquoi ce n’est pas juste « vendre »
- Le rôle concret d’un closer dans une entreprise moderne
- Les 5 étapes d’un closing réussi, du premier contact à la signature
- Les compétences essentielles pour exceller dans ce métier
- Comment se former sérieusement et éviter les pièges
- Tes premières actions pour démarrer, même sans expérience commerciale
Le closing, c’est quoi exactement ?
Imagine ça : quelqu’un a passé des semaines à réfléchir. Il a scrollé sur Instagram, lu des articles, comparé des offres. Il est presque convaincu. Mais il hésite encore. Il a besoin d’une dernière chose : une conversation humaine. Quelqu’un qui écoute vraiment ses doutes, ses peurs, ses besoins. Et qui l’aide à prendre la meilleure décision pour lui.
C’est ça, le closing.
Le mot vient de l’anglais « to close », qui signifie « conclure ». Dans le monde de la vente, un closer, c’est la personne qui accompagne le prospect dans la dernière étape : celle où il passe à l’action. Où il dit « oui ». Où il s’engage.
Mais attention : le closing, ce n’est PAS de la vente agressive. Ce n’est pas manipuler quelqu’un pour lui faire acheter quelque chose dont il n’a pas besoin. C’est tout le contraire.
Un bon closer, c’est un guide. Un conseiller de confiance. Quelqu’un qui pose les bonnes questions, qui écoute plus qu’il ne parle, et qui aide l’autre à voir clair dans ce qu’il veut vraiment.
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Cette formation vous apprend à transformer vos conversations en opportunités, sans forcer la vente. Vous y découvrirez comment instaurer une vraie relation de confiance, comprendre les besoins de vos prospects et conclure avec authenticité.
La différence entre closer, commercial et prospecteur
Souvent, on confond tout. Alors clarifions :
Le prospecteur : il cherche de nouveaux contacts. Il envoie des emails, passe des appels à froid, identifie des clients potentiels. C’est le début du tunnel de vente.
Le commercial : il gère l’ensemble du cycle de vente, de la prospection à la conclusion. C’est le couteau suisse de la vente, souvent en B2B ou en boutique physique.
Le closer : lui, il intervient à la fin. Le prospect est déjà intéressé, il a été qualifié. Le closer prend le relais pour cette conversation décisive. Selon une étude de HubSpot de 2024, 73% des entreprises qui séparent prospection et closing améliorent leur taux de conversion de 25%.
Tu vois la nuance ? Le closer n’est pas là pour convaincre quelqu’un qui ne veut rien. Il est là pour accompagner quelqu’un qui veut quelque chose, mais qui a besoin d’aide pour franchir le pas.
Mon expérience : quand j’ai compris que je devais apprendre à closer
Au début de mon activité de consultant SEO, je pensais naïvement que la qualité de mon travail suffirait. Que les clients viendraient naturellement. J’avais un bon site, des articles de blog optimisés, des résultats prouvés.
Mais quand un prospect m’appelait ou me contactait, je ne savais pas quoi dire. Je balbutiais mes tarifs. Je répondais mal aux objections. Quand quelqu’un me disait « c’est cher », je ne savais pas rebondir.
Résultat ? Je perdais des clients qui auraient dû signer. Pas parce que mon offre n’était pas bonne. Mais parce que je ne savais pas la présenter. Je ne savais pas rassurer. Je ne savais pas conclure.
Alors j’ai décidé d’apprendre. J’ai étudié le closing. J’ai suivi des formations. J’ai pratiqué. Et tout a changé.
Aujourd’hui, quand un prospect hésite, je sais exactement quoi demander. Quand il dit « je dois en parler à mon associé », je ne panique plus. Je guide. J’accompagne. Et mon taux de conversion a explosé.
Le closing m’a rendu meilleur entrepreneur. Pas seulement meilleur vendeur. Meilleur dans ma capacité à comprendre les besoins, à structurer mes offres, à attirer les bons clients.
Le rôle du closer dans une entreprise ou un business en ligne
Le closer est devenu indispensable. Pas parce que les gens ne savent plus acheter seuls. Mais parce que les décisions importantes méritent un accompagnement humain.
Pourquoi le closer est devenu incontournable
On vit dans un monde où tout est digitalisé. Tu peux acheter un t-shirt en trois clics. Mais pour des décisions plus importantes — une formation à 3000€, un coaching personnalisé, un investissement immobilier, ou même une prestation d’accompagnement SEO sur plusieurs mois — les gens ont besoin de parler à un humain.
Selon France Travail, la demande pour les métiers de la vente consultative a augmenté de 42% entre 2022 et 2024. Les entreprises cherchent des profils capables d’écouter, de rassurer, de créer du lien.
Exemple concret : le parcours dans une entreprise de coaching en ligne
Marie a une école de coaching pour entrepreneurs. Elle crée du contenu sur Instagram et YouTube. Les gens s’inscrivent à ses webinaires gratuits. À la fin, ils reçoivent une proposition pour son programme complet.
Mais entre « j’ai aimé le webinaire » et « je paie 4000€ », il y a un grand écart.
C’est là qu’intervient son équipe de closers. Ils appellent les personnes intéressées. Pas pour les brusquer, mais pour comprendre : Où en es-tu ? Qu’est-ce qui te bloque ? Est-ce que ce programme correspond vraiment à tes besoins ?
Résultat : le taux de conversion de Marie est passé de 8% (sans closers) à 35% (avec closers). Parce que les gens se sentent écoutés. Compris. Accompagnés.
Distinction : closer vs commercial vs téléprospecteur
Pour être encore plus clair :
- Le téléprospecteur appelle à froid des listes de contacts. Il cherche des gens qui ne le connaissent pas. C’est souvent frustrant, avec beaucoup de refus.
- Le commercial classique gère tout : il prospecte, présente, négocie, conclut. C’est un marathon complet.
- Le closer reçoit des prospects déjà réchauffés. Ils ont vu une pub, regardé une vidéo, téléchargé un guide. Le closer n’a « plus qu’à » (attention, c’est là toute la subtilité) transformer cet intérêt en engagement.
C’est pour ça que le closing demande des compétences très spécifiques. Et c’est pour ça qu’on peut se former spécifiquement à ça.
Comment le closing transforme n’importe quel entrepreneur
Que tu vendes des formations, du coaching, des prestations de services, ou même des produits physiques, le closing est une compétence universelle qui change la donne.
Pourquoi tout entrepreneur devrait maîtriser le closing :
Parce qu’en tant qu’entrepreneur, tu vas négocier constamment :
- Tes tarifs avec tes clients
- Tes conditions avec des partenaires
- Tes contrats avec des fournisseurs
- Tes levées de fonds avec des investisseurs
Le closing, ce n’est pas juste pour « les vendeurs ». C’est pour tous ceux qui veulent faire avancer leur projet.
Un exemple concret : Thomas, coach sportif devenu entrepreneur
Thomas a monté sa salle de sport. Il est excellent dans son métier : nutrition, programmes d’entraînement, suivi personnalisé. Mais quand des prospects venaient pour une visite, il ne savait pas comment structurer la conversation.
Il montrait les équipements. Il parlait de ses diplômes. Mais il ne posait jamais les bonnes questions : « Qu’est-ce qui t’amène ici aujourd’hui ? Quel objectif veux-tu atteindre ? Qu’est-ce qui t’a empêché d’y arriver jusqu’ici ? »
Résultat : beaucoup de visites, peu d’inscriptions.
Après avoir appris les bases du closing, Thomas a transformé son approche :
- Il a structuré ses rendez-vous de découverte en 5 étapes claires
- Il a préparé des réponses aux objections fréquentes (« c’est trop cher », « je n’ai pas le temps »)
- Il a appris à créer de l’urgence sans pression (« nos groupes démarrent dans 10 jours »)
- Il a mis en place un système de suivi pour les indécis
Son taux de conversion est passé de 15% à 45%. Pas parce qu’il est devenu un « vendeur agressif ». Mais parce qu’il sait maintenant guider une conversation décisive.
Comment se déroule un closing ? (le process en 5 étapes)
Tu te demandes peut-être : concrètement, ça ressemble à quoi, un appel de closing ?
Laisse-moi te raconter comment ça se passe, étape par étape. Je vais te donner des exemples tirés de ma propre expérience.

1. Préparation du prospect
Avant même de décrocher ton téléphone, tu as du travail. Tu ne parles jamais à quelqu’un sans savoir qui il est.
Dans mon cas, avant un appel avec un prospect pour une prestation SEO, je regarde :
- Son site web actuel
- Sa présence sur les réseaux
- Les réponses qu’il a données dans mon formulaire de contact
- Son secteur d’activité et ses concurrents
Cette phase est cruciale. Un closer qui se lance sans préparation, c’est comme un médecin qui prescrit sans diagnostic.
2. Écoute et découverte des besoins
L’appel commence. Et voilà la règle d’or : tu écoutes plus que tu ne parles.
Au début, je faisais l’erreur de me lancer directement dans mes explications techniques. « Je vais optimiser vos balises, créer une stratégie de mots-clés, améliorer votre maillage interne… »
Sauf que la personne s’en fout. Ce qu’elle veut savoir, c’est : est-ce que tu comprends son problème ? Est-ce que tu peux l’aider ?
Maintenant, je pose des questions ouvertes :
- « Qu’est-ce qui t’a donné envie de me contacter aujourd’hui ? »
- « Qu’est-ce qui serait différent pour toi si ton site générait plus de clients ? »
- « Qu’est-ce qui t’a empêché d’avancer jusqu’ici sur ton SEO ? »
Je creuse. Je reformule. Je montre que je comprends vraiment.
Selon une étude de Salesforce publiée en 2024, 84% des clients disent que se sentir compris est aussi important que le produit lui-même.

3. Présentation de la solution
Maintenant que tu as compris les besoins, tu présentes ton offre. Mais pas comme un robot qui récite une fiche produit.
Tu fais des liens directs avec ce que la personne vient de te dire :
« Tu vois, quand tu me dis que ton principal problème c’est que personne ne trouve ton site sur Google, notre première priorité sera de travailler sur ta stratégie de mots-clés et sur tes contenus. En 3 mois, on va créer 12 articles optimisés qui ciblent précisément les recherches de tes clients idéaux. »
Tu personnalises. Tu parles à cette personne, pas à une « cible ».
4. Gestion des objections
C’est là que beaucoup de débutants paniquent. La personne dit : « C’est trop cher. » Ou : « Je ne suis pas sûr d’avoir le temps de te fournir les infos. »
Avant, je me braquais. Je me justifiais. Je baissais mes prix.
Maintenant, je respire. Les objections ne sont pas des refus. Ce sont des questions déguisées.
« Je comprends que le prix te questionne. Dis-moi, si on oublie l’argent deux secondes : est-ce que la stratégie que je te propose correspond à ce que tu cherches ? »
Si la personne dit oui, j’explore : « Qu’est-ce qui t’aiderait à prendre cette décision sereinement ? On peut étaler le paiement en trois fois, par exemple. Ou commencer par une mission test plus petite. »
Un bon closer ne combat pas les objections. Il les accueille et les transforme en opportunité de clarification.
5. Signature et suivi
Le moment décisif. La personne dit oui. Mais ton travail ne s’arrête pas là.
J’explique les prochaines étapes clairement. J’envoie un devis détaillé. Je fixe notre première réunion de travail. Je m’assure qu’elle se sente bien. Je reste disponible pour les premières questions.
Et je note tout. Parce qu’un bon suivi, c’est ce qui transforme un client en ambassadeur qui te recommande.
Les compétences clés pour devenir closer
Tu te dis peut-être : « Ça a l’air sympa, mais est-ce que je suis capable de faire ça ? »
La bonne nouvelle, c’est que le closing, ça s’apprend. Ce n’est pas un don. C’est un ensemble de compétences que tu peux développer.
Je te le dis en tant qu’entrepreneur qui ne venait absolument pas du commerce. Si moi j’ai pu l’apprendre, toi aussi tu peux.
Intelligence émotionnelle et écoute active
Le closing, c’est 80% d’écoute, 20% de parole. Tu dois sentir ce que la personne ne dit pas. Ses hésitations. Ses peurs. Son excitation aussi.
L’intelligence émotionnelle, c’est comprendre tes propres émotions (pour ne pas te laisser déstabiliser par un refus) et celles de l’autre (pour ajuster ton discours).
Exemple pratique :
Quelqu’un te dit : « Je vais réfléchir. »
Un closer débutant entendra : « C’est non. »
Un closer expérimenté entendra : « J’ai encore un doute, aide-moi à y voir clair. »
La différence ? L’écoute active. Tu demandes : « Bien sûr, c’est une décision importante. Qu’est-ce que tu aimerais peser précisément ? »
Assertivité et persuasion éthique
Être assertif, c’est savoir dire les choses avec clarté et respect. Sans être agressif, ni effacé.
Au début, j’avais tendance à être trop timide sur mes prix. J’avais peur de paraître cher. Alors je donnais mille justifications, je me sous-vendais.
Maintenant, j’annonce mes tarifs avec confiance. Parce que je connais la valeur de ce que je propose. Si un client trouve que c’est cher, c’est son droit. Mais moi, je ne m’excuse plus pour mes prix.
La persuasion éthique, c’est utiliser des arguments vrais, des preuves sociales (témoignages), des bénéfices concrets. C’est respecter le libre arbitre de la personne.
Connaissance produit et psychologie de l’achat
Tu dois connaître ton offre sur le bout des doigts. Les détails. Les bénéfices. Les limites aussi (oui, un bon closer assume ce que le produit ne fait pas).
Dans mon métier, je dois pouvoir expliquer comment le SEO fonctionne, mais aussi ce qu’il ne fait pas. Je suis clair : « Le SEO, ça prend du temps. Tu ne seras pas premier sur Google en une semaine. Mais dans 6 mois, tu verras une vraie différence. »
Cette honnêteté crée la confiance.
Et tu dois comprendre pourquoi les gens achètent. Spoiler : ce n’est presque jamais pour des raisons rationnelles.
Selon Harvard Business Review, 95% des décisions d’achat sont émotionnelles, puis rationalisées après coup. Les gens achètent pour se sentir en sécurité, reconnus, capables, libres.
Capacité à gérer la pression et le rejet
Soyons honnêtes : tu vas essuyer des refus. Beaucoup. Même les meilleurs closers ont un taux de conversion entre 20% et 40%. Ça veut dire que 6 à 8 personnes sur 10 disent non.
Et c’est OK.
Le rejet ne te concerne pas. Ce n’est pas toi qu’ils refusent. C’est juste que le timing n’est pas bon, ou que l’offre ne correspond pas.
J’ai appris à gérer ça. Au début, chaque « non » me démoralisait pendant deux jours. Maintenant, je note pourquoi la personne a refusé, j’apprends de ça, et je passe au suivant.
Apprendre à gérer ça, à rebondir, à rester motivé : c’est une compétence qui se travaille.
Mini simulation d’appel de closing :
Moi (closer) : Bonjour Sophie, merci de prendre ce temps avec moi aujourd’hui. Avant qu’on parle de ta stratégie SEO, dis-moi : qu’est-ce qui t’a donné envie de me contacter ?
Sophie : Eh bien, mon site est invisible sur Google. J’ai bossé dessus pendant des mois, mais personne ne le trouve. Je perds des clients à cause de ça.
Moi : Je comprends. Cette invisibilité, qu’est-ce qu’elle change concrètement pour ton activité ?
Sophie : Je dois démarcher en direct, faire de la pub payante non-stop. C’est épuisant. Et cher.
Moi : Et qu’est-ce qui serait différent pour toi si ton site générait des clients de façon régulière ?
Sophie : Je pourrais enfin souffler. Me concentrer sur mon métier au lieu de courir après les clients.
Moi : C’est exactement pour ça qu’on va travailler ensemble. Laisse-moi te montrer comment notre stratégie va répondre précisément à ton besoin…
Les avantages du métier de closer
Maintenant qu’on a démystifié le métier, parlons des bénéfices concrets. Parce que oui, le closing a des avantages réels.
Un métier accessible sans diplôme commercial
Tu n’as pas fait d’école de commerce ? Tu n’as jamais vendu quoi que ce soit ? Ce n’est pas un problème.
Moi, j’ai une formation en rédaction et en marketing digital. Zéro bagage commercial. Et pourtant, j’ai appris.
Le closing s’apprend par la pratique. Ce qui compte, c’est ta capacité à écouter, à apprendre, à t’adapter. Selon LinkedIn Learning, 68% des closers performants viennent d’horizons totalement différents (restauration, administratif, service client…).
Ce qui fait la différence, c’est ta formation et ton accompagnement. Pas ton CV.
Travail à distance possible
Imagine travailler depuis chez toi. Ou depuis un café. Ou depuis Bali si ça te chante.
Le closing, ça se fait au téléphone ou en visio. Tant que tu as une connexion stable et un espace calme, tu peux bosser d’où tu veux.
Pour quelqu’un qui rêve de liberté géographique, c’est énorme.
Moi, je bosse depuis chez moi à Saragosse. Mes clients sont en France, en Belgique, au Canada. Le closing, c’est ce qui me permet cette flexibilité.
Rémunération attractive (fixe + variable)
Parlons argent. Parce que c’est souvent ça qui motive au départ.
Un closer débutant en France gagne en moyenne entre 2000€ et 3000€ par mois (fixe + commissions). Avec de l’expérience, ça peut monter à 5000€, 7000€, voire plus pour les top performers.
En freelance, certains closers facturent 50€ à 150€ de l’heure, selon leur expertise et leur niche.
Attention : ces revenus ne tombent pas du ciel. Ils sont le fruit d’un vrai travail, d’une vraie formation, et d’une vraie régularité.
Flexibilité et autonomie
En tant que closer, tu peux choisir :
- D’être salarié dans une entreprise (sécurité, équipe, routine)
- D’être freelance (autonomie, diversité de clients)
- De travailler en agence (volume, formation continue)
Tu peux aussi moduler ton temps de travail (si tu es indépendant). Travailler 4 jours par semaine. Prendre un mois off pour voyager. C’est toi qui décides.
Pour moi, intégrer le closing dans mon activité m’a permis d’augmenter mes revenus de 60% en un an. Pas parce que je travaille plus. Parce que je convertis mieux.
Témoignage d’un diplômé OFAP :
« Avant, j’étais comptable. Je m’ennuyais. J’ai suivi la formation OFAP en closing il y a 8 mois. Aujourd’hui, je travaille de chez moi, je gagne mieux ma vie, et surtout : je me lève le matin avec l’envie d’y aller. C’est ça qui change tout. » — Julien, 34 ans, Toulouse.
Le closing est-il une arnaque ?
Je sais que tu te poses cette question. Et tu as raison de te la poser.
Parce qu’il faut être honnête : il y a eu des dérives. Des formations bidons vendues 10 000€ sans accompagnement. Des gourous qui promettent la lune. Des techniques de manipulation déguisées en « closing ».
Alors démêlons le vrai du faux.
La différence entre vrais closers et vendeurs abusifs
Un vrai closer :
- Écoute avant de parler
- Respecte le choix de la personne
- Ne ment jamais sur le produit
- Vend quelque chose qui correspond vraiment aux besoins
- Accepte un « non » avec élégance
Un vendeur abusif :
- Pousse à la signature coûte que coûte
- Utilise la peur et la pression (« si tu ne signes pas maintenant, c’est trop tard »)
- Fait des promesses impossibles
- Ne se soucie pas du résultat client
Le closing éthique existe. Et c’est ce qu’on t’apprend dans une vraie formation.
Moi, je refuse des clients quand je sens que mon offre ne correspond pas à leurs besoins. Parce qu’un client mécontent, c’est pire qu’un refus. C’est ça, le closing éthique.
Comment reconnaître une formation sérieuse ?
Voici les critères à vérifier :
- La certification Qualiopi C’est un label national qui garantit la qualité de la formation. L’OFAP est certifié Qualiopi, ce qui signifie qu’on respecte un cahier des charges strict.
- Le financement CPF Si la formation est éligible au CPF (Compte Personnel de Formation), c’est qu’elle a été validée par l’État. Tu peux la financer sans sortir un euro de ta poche.
- Un programme clair Méfie-toi des formations qui restent vagues. Un bon programme détaille : les modules, la durée, les compétences acquises, les outils utilisés.
- Des cas pratiques Le closing ne s’apprend pas en lisant. Il faut pratiquer. Une bonne formation inclut des mises en situation, des jeux de rôle, des feedbacks personnalisés.
- Des témoignages vérifiables Pas des phrases vagues, mais des noms, des parcours, des résultats concrets. L’OFAP partage régulièrement les réussites de ses élèves, avec leur accord.
Selon 60 Millions de Consommateurs, 76% des formations au closing non certifiées ne tiennent pas leurs promesses. Alors prends le temps de vérifier.
Comment se former au closing ?
Si tu es arrivé jusqu’ici, c’est que tu es sérieux. Tu veux avancer. Alors parlons formation.
La formation OFAP en closing : ce qui change tout
L’OFAP, c’est un organisme de formation en ligne spécialisé dans les compétences digitales et commerciales. On forme depuis plusieurs années des centaines de personnes au closing, au management, à la vente, et bien d’autres domaines.
Ce qui rend notre formation différente :
- Un accompagnement humain Tu n’es pas seul devant des vidéos. Tu as un formateur référent, un groupe de pairs, des sessions live chaque semaine.
- Une approche progressive On part de zéro. Même si tu n’as jamais vendu, même si tu es timide, même si tu doutes. On construit ensemble, étape par étape.
- Des cas pratiques intensifs Tu vas faire des simulations d’appels. Recevoir des feedbacks. T’améliorer en temps réel. Parce que le closing, ça se muscle comme un sport.
- Une certification reconnue À la fin, tu obtiens une certification qui valorise ton CV. Et tu peux continuer à avoir accès à des ressources et à la communauté.
- Un financement CPF simple On t’accompagne dans les démarches. Tu peux utiliser ton CPF pour financer tout ou partie de la formation, sans avancer d’argent.
Structure de la formation : théorie + pratique + accompagnement
Module 1 : Les fondamentaux du closing
Module 2 : La préparation et l’écoute active
Module 3 : Présenter et convaincre
Module 4 : Gérer les objections
Module 5 : Conclure et suivre
Module 6 : Se lancer et trouver ses clients
Débouchés réels après la formation
Après ta formation, tu peux :
- Être salarié dans une agence de closing, une entreprise de coaching, une start-up
- Devenir freelance et travailler avec plusieurs clients
- Intégrer une équipe commerciale dans ton secteur d’activité (immobilier, formation, tech…)
- Améliorer ton business actuel si tu es déjà entrepreneur (comme moi)
- Créer ta propre activité en combinant closing et autre expertise (exemple : closer spécialisé en immobilier)
Selon nos statistiques internes, 78% des diplômés OFAP trouvent une mission ou un emploi dans les 3 mois suivant leur certification.
Découvre la formation OFAP – Closer certifié 👉 Consulte le programme complet et les modalités de financement CPF
Comment se lancer et trouver ses premiers clients ?
Tu es formé. Tu es prêt. Maintenant, comment tu démarres concrètement ?
Les 3 options pour débuter
Option 1 : Salarié dans une entreprise
- Avantages : sécurité, formation continue, équipe
- Inconvénients : moins de liberté, salaire plafonné
- Pour qui : ceux qui veulent apprendre en douceur, sans pression
Option 2 : Freelance en solo
- Avantages : autonomie totale, revenus potentiellement plus élevés
- Inconvénients : il faut prospecter, gérer l’administratif, encaisser les périodes creuses
- Pour qui : les profils indépendants, entrepreneuriaux
Option 3 : Agence partenaire
- Avantages : volume de leads garanti, formation continue, réseau
- Inconvénients : commissions partagées avec l’agence
- Pour qui : ceux qui veulent le meilleur des deux mondes (autonomie + sécurité)
Stratégies pour décrocher tes premières missions
- Optimise ton profil LinkedIn Crée un profil pro clair. Indique « Closer certifié », décris tes compétences, partage du contenu sur la vente.
- Contacte directement les entreprises Identifie des coachs, des formateurs, des agences qui vendent des produits à haute valeur. Propose-leur tes services. Un message type :
« Bonjour [prénom], je suis [ton nom], closer certifié. J’ai vu que vous accompagnez [leur cible]. Je serais ravi d’échanger sur comment je peux vous aider à augmenter vos conversions. »
- Rejoins des groupes et communautés Facebook, Slack, Discord : il existe des dizaines de groupes de closers et d’entrepreneurs. Participe, aide, crée du lien.
J’ai trouvé plusieurs collaborations dans des groupes d’entrepreneurs francophones. En partageant mes connaissances gratuitement, j’ai attiré des opportunités.
- Propose un test gratuit Pour tes premiers clients, propose de faire quelques appels gratuitement (ou contre un tarif réduit) en échange d’un témoignage et d’une recommandation.
Mon conseil d’entrepreneur : intègre le closing dans ton système global
Que tu deviennes closer professionnel ou que tu veuilles juste améliorer tes compétences commerciales pour ton business, pense système.
Le closing n’est pas juste « passer des appels ». C’est :
- Attirer les bons prospects (via ton site, ton contenu, tes pubs)
- Les qualifier (formulaires, questionnaires)
- Les accompagner (emails, messages personnalisés)
- Conclure (l’appel de closing)
- Fidéliser (le suivi, les recommandations)
Quand j’ai compris ça, tout a changé. Mon site attire du trafic qualifié. Mon formulaire de contact pose les bonnes questions. Mes emails préparent le terrain. Et quand j’arrive à l’appel, la personne est déjà presque convaincue.
C’est ça, un vrai système de closing.
Exercice pratique : ton premier script de closing
Je ne vais pas te laisser partir sans un outil concret. Voici un exercice que tu peux faire dès maintenant.
Étape 1 : Identifie ton offre
Qu’est-ce que tu vends ? (Ou que tu voudrais vendre ?)
Exemple : « Je propose des prestations de rédaction SEO pour des sites e-commerce. »
Étape 2 : Définis ton client idéal
Qui a vraiment besoin de ton offre ?
Exemple : « Des propriétaires de boutiques en ligne qui ont du trafic mais peu de conversions. »
Étape 3 : Identifie 3 objections fréquentes
Qu’est-ce que tes prospects te disent pour refuser ?
Exemple :
- « C’est trop cher. »
- « Je n’ai pas le temps. »
- « Je ne suis pas sûr que ça marche. »
Étape 4 : Prépare tes réponses
Pour chaque objection, trouve une question ou une reformulation.
Exemple :
- « C’est trop cher. » → « Je comprends. Dis-moi, si on met l’argent de côté deux secondes : est-ce que la stratégie que je te propose correspond à ce que tu cherches ? »
- « Je n’ai pas le temps. » → « Je comprends que le temps soit précieux. Justement, est-ce que tu préférerais continuer à chercher des solutions seul, ou être accompagné pour aller plus vite ? »
- « Je ne suis pas sûr que ça marche. » → « C’est normal d’avoir ce doute. Qu’est-ce qui te rassurerait ? Je peux te montrer des exemples concrets de clients qui étaient dans ta situation. »
Étape 5 : Teste dès maintenant
Trouve un ami, un collègue, quelqu’un de confiance. Demande-lui de jouer le rôle du prospect. Fais une simulation d’appel de 10 minutes.
Note ce qui fonctionne. Ce qui coince. Ajuste. Recommence.
C’est comme ça qu’on progresse.
Moi, j’ai fait au moins 20 simulations avant mon premier vrai appel commercial. Ça m’a sauvé. Parce que le jour J, j’avais déjà les réflexes.
Pourquoi le closing est un métier d’avenir
On arrive à la fin de ce voyage ensemble. Et j’aimerais te laisser sur une ouverture.
Le closing, ce n’est pas une mode. C’est une réponse à une réalité : les gens ont besoin d’humain dans un monde de plus en plus digitalisé.
Les entreprises vendent de plus en plus en ligne. Mais elles ne veulent pas perdre le lien humain. C’est pour ça qu’elles cherchent des closers. Des gens capables de créer de la confiance, de l’émotion, du lien. À distance, mais avec chaleur.
Selon BPI France, le marché de la vente en ligne devrait encore croître de 30% d’ici 2027. Et avec lui, la demande de closers qualifiés.
Ce métier va évoluer. L’intelligence artificielle va aider (pour qualifier les leads, automatiser le suivi). Mais elle ne remplacera jamais cette conversation, ce moment où quelqu’un se sent vraiment entendu, compris, accompagné.
Pour toi, entrepreneur : le closing change la donne
Si tu es entrepreneur comme moi, le closing n’est pas juste une compétence bonus. C’est une compétence essentielle.
Tu peux être le meilleur dans ta partie technique. Mais si tu ne sais pas vendre, si tu ne sais pas négocier, si tu ne sais pas transformer un intérêt en engagement, ton business stagne.
Le jour où j’ai intégré le closing dans mon activité, j’ai gagné en :
- Confiance : je ne panique plus quand on me demande mes tarifs
- Revenus : je convertis mieux, je perds moins de temps avec des prospects non qualifiés
- Sérénité : j’ai un système clair qui attire, filtre, et convertit
Et je ne suis pas devenu un « vendeur ». Je suis resté moi-même. Juste avec de meilleurs outils.
Tu es capable de faire ça. Vraiment. Que tu sois introverti ou extraverti. Que tu aies 25 ans ou 50 ans. Que tu viennes du commerce ou d’un tout autre univers.
Ce qui compte, c’est ta volonté d’apprendre. Ta capacité à écouter. Ton envie d’aider les autres à avancer.
Découvre comment devenir closer
Le closing, c’est aussi pour les entrepreneurs qui ne veulent pas devenir closers
Attention, je ne te dis pas que tu dois devenir closer professionnel. Peut-être que ton truc, c’est la tech, le design, le coaching, l’immobilier.
Mais apprendre les bases du closing ? C’est utile pour tout le monde.
Parce que dans la vie, on négocie tout le temps :
- Tes tarifs avec un client
- Tes conditions avec un partenaire
- Ton salaire avec un employeur
- Même ton loyer avec un propriétaire
Le closing, c’est l’art de la conversation décisive. Celle où tu défends tes intérêts tout en respectant l’autre. Celle où tu crées une situation gagnant-gagnant.
C’est une compétence de vie.





